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Pas d'effet de l'immigration sur la délinquance !
Alors que DARMANIN et CIOTTI rivalisent en matière de xénophobie s'alignant sur LE PEN et ZEMMOUR, une étude du centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII) rattaché à la première Ministre assure que "les immigrés ne sont pas à l'origine d'une augmentation des taux d'infraction dans les pays d'accueil".
Les quelques excès constatés concernent exclusivement les vols et sont corrélés directement à l'interdiction de travailler. Pour bouffer les étrangers volent.
En revanche, les étrangers sont plus fréquemment poursuivis ou condamnés relativement aux nationaux.
Mais l'étude montre que ceci est d'abord corrélé aux délits spécifiques comme le refus de la reconduite à la frontière, ou à leur situation de précarité, mais aussi à une vigilance particulière à l'égard des jeunes hommes qui la composent et auxquels rien n'est pardonné.
Une étude réalisée en Allemagne sur l'électorat de SAXE où un journal spécifiait systématiquement l'origine des auteurs d'infraction qu'elle soit étrangère ou non : les intentions de vote pour l'extrême droite ont baissé : la délinquance étant d'abord le fait des "natifs".
Source : LE MONDE
L'étude est ici
Une ville apaisée, disaient-ils...
Le maître mot de la majorité LARDET/ASTORG est l'apaisement. La "Ville apaisée", le mantra de leur mésalliance. Tels des pompiers pyromanes, ces apaiseurs sont en train de mettre la ville à feu et à sang. Dans le Dauphiné Libéré, l'ancien adjoint aux Finances assassine le Maire : il n'a même pas été reçu par lui après sa démission... Et il l'a à peine vu au cours des trois ans passés. Monsieur PETIT confirme mon analyse de l'éclatement de RÉVEILLONS ANNECY en plusieurs sous-groupes qui n'ont plus rien de commun, regroupés autour d'un maire dépassé par les événements et incapable de prendre une décision.
Monsieur PETIT pointe la dérive de la masse salariale pour expliquer les difficultés actuelles de la Ville. Il cite un ratio de salaires en comparaison d'autres villes de la même strate. Bizarre analyse quand on compare ANNECY qui n'a rien sous-traité au privé et d'autres villes qui n'ont pas de personnel pour leurs parkings, le nettoyage urbain, etc. C'est le périmètre du service public qui doit permettre de comparer, pas un montant brut de dépense. En réalité, ce sont les dépenses délirantes en bureaux d'étude inutiles et en campagnes de publicité qui sont responsables de cette situation déplorable et pas le personnel municipal. Combien va coûter la plaisanterie urbanistique "ANNECY 2050" ? Alors que le PLUI est en cours, pourquoi se payer une étude de plus sur des sujets déjà bien connus ?
Pour mettre un peu plus d'excellente ambiance, RÉVEILLONS en est au stade des procès entre ses membres... Drôle de bienveillance !
Et Mme LARDET pilonne désormais à mort ses alliés espérant ainsi se blanchir pour les prochaines municipales. Elle était d'accord avec eux, mais elle n'était pas vraiment d'accord car elle a découvert combien ils étaient sectaires, s'apprête t'elle à essayer de vendre aux annéciens.
Tout ceci accélère le départ des cadres : deux nouveaux chefs de service quittent la Ville pour échapper au marasme.
Quant à l'apaisement de la Ville elle-même, vous aurez apprécié comme moi le chevauchement le même week-end du traditionnel tournoi de volley sur le PAQUIER et de la nouvelle Maxi Race à ALBIGNY : des embouteillages abominables pour une ville embolisée, croulant sous les déchets des touristes.
En 2026, si cela continue comme depuis 3 ans, l'équipe municipale qui prendra la suite n'aura qu'un programme à appliquer : remettre la Ville sur ses rails, simplement cela. Retrouver de la sincérité et le souci des gens. Retrouver du respect entre les élus. Retrouver en définitive une sérénité qui était la marque de la Ville, le marqueur de son attractivité.
Madame GREBERT ou Madame Bordeau Chesnel ?
Je milite depuis longtemps mais ma naïveté demeure sans limite. Entre les deux tours des municipales de 2020, j'avais convaincu plusieurs collègues que RÉVEILLONS ANNECY et ANNECY RESPIRE ne fusionneraient pas tant leurs désaccords idéologiques étaient irréconciliables. J'avais la certitude que Mme GREBERT ne pourrait pas valider une alliance avec une macroniste compte-tenu de son engagement à gauche toute à la Région et de son appartenance à NOUVELLE DONNE. Las, je me suis trompé.
Mme GREBERT visait mes attributions de vice-président à l'écologie au GRAND ANNECY : elle a oublié ses discours le temps d'une mésalliance rémunératrice.
Et voilà qu'au dernier conseil municipal, Mme GREBERT découvre que "elle n'a pas les mêmes valeurs" que Mme LARDET. C'est fort, les valeurs. C'est au-dessus des choix politiques, c'est la conception que nous avons du bien et du mal, de ce qui est moralement acceptable et de ce qui est inacceptable.
Mais, ne soyez pas dupes : LARDET/GREBERT partagent les mêmes valeurs.
Si elles sont en désaccord sur le plan politique, LARDET/GREBERT ont en commun le même système de valeurs, la même boussole morale pour leurs actes politiques du quotidien : l'individualisme le plus forcené maquillé par des paroles verbales faites de collectif, de partage, d'écoute, etc. Ecoutez les, regardez les agir et vous aurez de la stéréo.
Quand LARDET abandonne MACRON en rase campagne pour aller chez Edouard PHILIPPE car MACRON ne sera plus candidat à la présidentielle en 2027 et ne lui servira donc plus, GREBERT se garde bien d'entrer chez EELV pour ne pas être prise dans leurs batailles internes et réussit ainsi à être désignée par EELV comme tête de liste régionale.
Le même opportunisme moral pour surfer sur la vague et arriver à être la première sans s'embarrasser d'une démarche collective.
En 2020, c'est l'apothéose avec leur alliance aux municipales : leur même système de valeurs leur permet de s'assoir sur leurs convictions car pour elles la fin justifie les moyens. Elles peuvent faire alliance en 2020 sur l'air de "Embrassons nous Folleville" et en 2023 se haïr avec sérénité.
Tout ceci sans remettre en cause leurs porte-monnaies respectifs à la Ville comme à l'agglomération, puisque leur boussole est en réalité leur intérêt personnel bien compris.
A GRENOBLE, Eric PIOLLE, par cohérence politique, a démis de leurs fonctions des adjoints de sa propre liste écologiste qui contestaient l'augmentation des impôts.
A Annecy, Mme GREBERT n'exige pas d'ASTORG qu'il retire sa délégation municipale à Mme LARDET. Et en signe de désaccord, elle ne démissionne pas ; restant dans la même majorité qu'une personne dont elle ne partagerait pas les valeurs...
Tout part à vau l'eau dans cette Ville, fors les indemnités des élus de la majorité municipale, désunie sur le plan politique, mais unie par la même âpreté au gain !
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Ciao les fossoyeurs d'ALPINE ALUMINIUM !
La cour d'appel de CHAMBÉRY a confirmé hier l'annulation de la cession de la SCOP ALPINE ALUMINIUM au duo Frank SUPPLISSON/ Alain SAMSON en considérant qu'ils n'avaient tenu aucun des engagements qu'ils avaient pris devant le Tribunal de commerce d'ANNECY en termes de maintien des emplois des 49 salariés repris et de création des emplois nouveaux qu'ils avaient promis.
Un pourvoi en cassation est toujours possible, mais les faits sont têtus et l'arrêt est longuement motivé; retenant par exemple que les emplois des locataires présents sur le site ne sauraient s'analyser en des créations d'emplois ou que les maigres excuses des repreneurs pour ne pas tenir leurs promesses étaient en réalité toutes connues.
Cet arrêt ouvre la voie à la vente des terrains, le seul actif de la SCOP; et au remboursement des créanciers qui avaient perdu de l'argent lors du dépôt de bilan de la SCOP.
SUPPLISSON/SAMSON sont donc renvoyés d'ANNECY où leurs méfaits auront néanmoins fait perdre 85 emplois industriels.
Un historique du dossier ici
Défendre les polinisateurs...
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Quand les pesticides déciment les pollinisateurs (feat. Nicolas Meyrieux) - AMI DES LOBBIES #25
Pour agir contre les lobbies et pesticides tueurs d'abeilles, signez la pétition : https://info.pollinis.org/exposons-les-lobbys-des-pesticides/ Vidéo réalisée en partenariat avec Pollinis. Éc...
Centrale solaire villageoise, l'exemple de PERLE
Avec la CIGALES du LAC, nous avions souscrit en 2018 pour 5 000 euros au capital de la coopérative solaire de l'ALBANAIS, PERLE. C'était l'assemblée générale ce samedi. PERLE produit aujourd'hui 200 Mwh par an mais n'a pas investi depuis 2020 dans de nouvelles installations tant le prix de rachat de l'électricité était bas jusque début 2023. L'horizon s'éclaircit un peu avec l'augmentation du prix de l'électricité qui permet si il se maintient de prévoir de nouveaux investissements avec un temps de retour de moins de 15 ans. Dans ce cas un projet sur ARITH pourrait voir le jour.
Malgré un capital de 88 400 euros et 91 actionnaires, PERLE boucle ses exercices avec un bénéfice net de l'ordre de 3 000 euros par an, car la société doit d'abord rembourser ses emprunts importants pour financer les installations. A terme, lorsque les emprunts seront remboursés à partir de 2027, la situation financière deviendra plus facile.
Mais ce qui compte d'abord c'est de réussir la transition énergétique du pays, et les prix de rachat de l'électricité verte sont donc déterminants pour permettre aux initiatives citoyennes de naître et de se maintenir dans la longue durée de gestion des installations sur 20 ans qui est la durée des contrats de rachat de l'électricité.
Pour pallier cette rentabilité insuffisante, il faut des bénévoles qui acceptent de passer du temps à gérer les installations, à émettre les factures, à trouver de nouveaux actionnaires, etc.
Et tout cela, non pas dans une flambée d'enthousiasme de quelques mois, mais sur une vingtaine d'années... Chapeau bas à ces bénévoles, trop peu nombreux et qui peinent à trouver de nouvelles bonnes volontés, pour leur engagement et leur ténacité malgré les difficultés organisées par les pouvoirs publics pour justifier le recours au nucléaire. En empêchant une rentabilité suffisante des initiatives citoyennes, il réduit leur production... ce qui justifie le recours à une énergie centralisée par EDF qui n'a elle aucun compte à rendre sur sa rentabilité comme le montre l' exemple de l'EPR de FLAMANVILLE.
Les coucous de la boucle d'eau
Ça fait tout de même mal au ventre de voir les coucous ASTORG/LARDET récupérer le fruit du travail de l'équipe municipale précédente pour se glorifier d'une première française en matière énergétique (et non européenne comme s'enflamme le Dauphiné Libéré qui oublie que GENÈVE a montré la voie).
J'ai initié puis porté le projet de boucle d'eau, mené les réunions de concertation avec les associations de protection de la nature, obtenu une aide massive de l'ADEME et JLR a su convaincre le CRÉDIT AGRICOLE de participer à ce projet renouvelable alors que tout avait été prévu pour un chauffage au gaz.
Mais de cela, ASTORG/LARDET se battent les flancs; trop heureux de masquer leur incurie environnementale par la récupération d'un projet porté par leurs prédécesseurs.
Cette première française environnementale, il faut effectivement qu'ils profitent de cette aubaine que nous leur offrons; car dans trois ans, quand ils seront renvoyés dans leurs pénates, ils n'auront pas eu l'opportunité de se glorifier de la moindre réussite de ce genre.
Il est d'usage dans ce genre de manifestations d'inviter les anciens élus qui ont oeuvré pour la réalisation que l'on inaugure après leur départ. Cela contribue au principe de continuité républicaine. Avec ASTORG/LARDET, c'est table rase !
Et puis, rappelons que la moitié des calories produites par la boucle d'eau devait chauffer la piscine des MARQUISATS. J'ignore comment IDEX réussira à boucler son budget d'exploitation sans cette recette majeure...
Gabegie de consultants
Et voilà que l'équipe municipale découvre l'urbanisme annécien. Alors qu'il existe déjà un projet de territoire voté par l'ancienne majorité ANNECY 2050, un schéma de cohérence territoriale, un Plan local d'urbanisme intercommunal en cours d'instruction, ASTORG and Co se sont payés sur le compte de la Ville une étude ANNECY 2050 qui révolutionne la vision du territoire.
Ils découvrent par exemple qu'il faut densifier la ville.
Exactement l'inverse de ce qu'ils ont prêché pendant la campagne électorale où il fallait stopper la bétonnisation de la Ville. Maintenant, leur objectif est de 160 000 habitants en 2050... On les logera dans des yourtes ou sur de nouveaux habitats palafittiques sur le lac ? Ou dans des immeubles en béton ?
Et puis, savez-vous, il faudra des îlots de fraicheur et lutter contre les îlots de chaleur...
Pour arriver à ces conclusions originales, décapantes, jamais lues nulle part depuis 40 ans, ASTORG and Co se sont faits accompagner par des urbanistes distingués qui ont coûté un saladier à la Ville pour recycler les décisions déjà prises par leurs prédécesseurs.
Des consultants superflus et coûteux.
Un autre exemple : la Ville fait venir de PARIS un architecte du nom de Pierre PARQUET qui assiste à certaines réunions sur la rénovation thermique pour apporter la bonne parole aux copropriétaires du recours à des matériaux bio-sourcés. Faire venir de PARIS pour cette plus-value considérable que n'importe quel architecte annécien est capable de présenter, cherchez l'erreur.
D'autant que si cela s'accompagnait de solutions innovantes, on pourrait en discuter. Mais cela voudrait dire que cet architecte est capable de faire baisser le coût des matériaux bio-sourcés ou a étudié des méthodes de pose moins coûteuses pour les mettre à niveau des capacités de financement des copropriétés annéciennes. Et bien non, il fait un petit tour et repart prendre son TGV, heureux d'avoir trouvé une municipalité de gogos pour lui payer le voyage et les honoraires.
Voir gaspiller le budget de fonctionnement avec des consultants inutiles dans une ville qui augmente ses impôts et n'investit plus assez, c'est démoralisant.
Pendant ce temps, la piscine des MARQUISATS est fermée pour des années et celle des FINS va fermer également cet été pour des travaux de rénovation. C'était dans le programme de LARDET/ASTORG de priver les annéciens de piscine ?
Vélo connection à ANNECY
Mme LAFARIE est à la Mairie la responsable de la politique vélo. Elle y met beaucoup d'ardeur, s'immisçant dans le fonctionnement des services, se positionnant comme technicienne en chef pour donner des ordres qu'il y ait un budget pour financer les travaux ou qu'il n'y en ait pas.
Mme LAFARIE s'affiche comme associée d'une entreprise de transport de marchandises à vélo pour permettre aux commerçants qui ont des difficultés à se faire livrer par camionnette de trouver une autre solution.
Donc plus Mme LAFARIE, en tant qu'élue développe le vélo au détriment de la voiture; plus elle augmente les chances de business pour sa petite entreprise de livraison à vélo.
Un conflit d'intérêts d'une limpidité exemplaire... Une "vélo connection" à ANNECY.
Qu'on me comprenne bien, ce n'est pas la politique vélo qui est en cause; c'est le mélange des genres d'une élue qui récolte à titre personnel les fruits de sa politique : "Servir ou se servir" .
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Monsieur PETIT se tire ailleurs...
Après MARIAS, voici Monsieur Christian PETIT qui tire sa révérence. Adjoint aux Finances tout de même, il repart dans l'anonymat d'un conseil municipal inconnu des annéciens. Ils étaient tous deux issus de la même fraction de la majorité municipale, issue de la société civile, ayant une réelle activité professionnelle. L'autre fraction de REVEILLONS ANNECY composée des idéologues (TATU, GREBER, LAFARIE,...) essaie d'en profiter pour que François ASTORG vire LARDET en même temps qu'il désigne deux nouveaux adjoints pour remplacer les démissionnaires. Leur cédera t'il ?
Je connais bien François ASTORG, c'est moi qui l'ait fait adhérer à la campagne d'EUROPE ECOLOGIE menée par Dany COHN BENDIT. Je me souviens très bien du soir où, entrant dans le local de la rue Jules BARUT pour une nième réunion sur mon exclusion et celle des autres conseillers verts au conseil municipal, il m'a annoncé qu'il avait décidé de me "lâcher"... Une de ses toutes proches aujourd'hui disparue dans la nature en fut remerciée par la présidence du Conseil fédéral d'EELV, rien de moins. Il faut croire que je gênais vraiment beaucoup la firme alors dirigée par Duflot/Placé. ASTORG visait un poste à la Région qui ne lui échut pas.
Je sais en tous cas qu'il n'a pas de squelette politique personnel, pas de cap. Il n'a jamais en tant qu'élu minoritaire travaillé ses dossiers au contraire d'un Denis DUPERTHUY. Il n'est maire que parce qu'il a été le plus commun dénominateur d'un rassemblement hétéroclite et opportuniste. L'habit est trop grand pour lui et ses hésitations permanentes le décrédibilisent chaque jour un peu plus auprès de ses colistiers.
Alors cédera t'il aux idéologues qui veulent un virage à la grenobloise ? Ou fera t'il a minima pour finir le mandat et conserver ses grasses indemnités ?
En tous cas, le départ de Monsieur PETIT n'est évidemment pas sans lien avec la crise financière de la Ville. Comment ont-ils fait en trois ans pour dilapider le trésor de guerre accumulé par Bernard BOSSON et Jean-Luc RIGAUT ? Combien de consultants ont-ils régalé ? Combien d'embauches politiques ont-ils réalisées ? Bref, où sont passés les sous ? C'est sans doute pour ne pas porter le chapeau d'une telle Bérézina que Monsieur PETIT a décidé de voir ailleurs.
